Thursday, February 27th, 2014 @ 2:10AM

Des études effectuées notamment par l’Université d’Ariel en Judée-Samarie

L’autisme est généralement considéré comme un handicap. Mais dans certains cas, ce trouble peut se révéler une force. Un groupe de jeunes autistes viennent de terminer un stage de trois mois en formation, qui leur a ouvert les portes du département du renseignement visuel du AMAN, les services de renseignements de Tashal. Leur mission: décrypter et analyser les images satellites et de surveillance aérienne collectées par forces de défense.

Version texte ( extraits ):

Il s’agit de jeunes filles présentant des troubles légers, c’est à dire capables d’une interaction sociale, dont sont privés les autistes plus profondément atteints. Le projet a été mis au point conjointement par les services de renseignements militaires israéliens et le collège académique de Kyriat-Ono. L’étude a révélé que ces jeunes ont des capacités d’analyse d’information visuelles souvent très supérieures à la moyenne. C’est ainsi qu’a émergé l’idée de les intégrer dans ce projet militaire unique en son genre.

D’autres études effectuées par l’Université d’Ariel ont constaté que les enfants présentant des symptômes d’autisme d’autisme léger pouvaient développer certaines de leurs capacités cérébrales.

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D’autres enfants révélés capables de développer de façon exceptionnel leurs facultés cognitives, par exemple dans le domaine de la lecture.

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Un atout majeur pour le département du renseignement visuel israélien, qui a plus que jamais besoin d’analystes capables de décrypter rapidement et à coup sûr les menaces de l’ennemi, qu’il s’agisse des rampes de lancement de roquettes du Hamas ou des installations nucléaires secrètes de l’Iran.

Version originale de l’article du magazine Actualité Juive:

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